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Mais plus tard, elle avouera ne jamais porter, dans la vie quotidienne, de sous-vêtements. Vous aviez loupé cette scène dans les années 90? Pas de souci... On l'a retrouvée, pour vous, sur le web en vidéo Ma mère est une maman tranquille de 3 enfants, habitant une sage petite ville bourgeoise de province. C’est une femme plutôt classique, distinguée, appréciée de tous pour sa un jour, tout a basculé. C’était un après midi de printemps. En rentrant de l’école, je l’ai trouvée allongée sur son lit, entièrement nue, un bandeau sur les yeux, pieds et mains attachés aux quatre côtés du lit. Sa position, couchée sur le dos, jambes grandes écartées, ne lui laissait aucune possibilité de dissimuler son intimité. Son sexe bien fendu, sa grosse chatte de femme mûre était même la chose qu’on voyait en premier. J’ai pris peur, j’ai cru à une agression, un viol, je ne sais quoi. Je me suis précipité sur elle et je lui ai enlevé son bandeau. - Maman ? Qu’est ce qui t’es arrivé ? Qui t’a attaché ? Ma mère pris un air navré. - C’est rien, ne t’en fais pas. Va demander à ton frère… - Léo ? Mais pourquoi ? Il est où ? - Dans le jardin. Il doit fumer une cigarette Je sortais alors dans le jardin, bien curieux de savoir ce qui se passait. Mon frère en effet était assis sur un banc, tranquillement en train de fumer. Léo avait 5 ans de plus que moi. Je savais qu’il était très porté sur le sexe. Il eu l’air surpris en me voyant. - Kevin ? Qu’est ce que tu fais là ? T’es pas à l’école ? - Non, je suis rentré plus tôt. Mais Léo, c’est quoi ça ? Pourquoi maman est attachée toute nue ? - Ne t’en fais pas, elle est d’accord. Maman est un peu speciale, tu sais. Elle est beaucoup moins sage que ce que tu imagines. Elle a des goûts vraiment pervers. En gros ce qui la fait kiffer c’est être soumise. Moi j’ai rien contre. J’aime bien ça même ! Elle se fait attacher et je lui fais toutes sortes de choses, plutôt cochonnes. Je te fais pas de dessin… - Mais c’est fou, ça ! C’est notre mère ! - Et alors ? Elle adore ça ! Tu devrais essayer. Viens, on va dans la chambre. Je vais te montrer. Je n’en revenais pas. Il se passait vraiment des choses bizarres chez nous… Avec Léo on est retourné dans la chambre. Notre mère n’avait pas bougé, ce qui n’avait rien d’étonnant les noeuds qu’avaient fait Léo étaient solides. Jambes écartées, bras attachés en croix aux coins du lit, elle était livrée à nous. Léo s’avanca vers elle et lui remis son bandeau sur les yeux. - Voilà. A toi de jouer ! me dit il. - Quoi ? Je fais quoi ? - Soit pas idiot. Mets les mains, les doigts, ce que tu veux. Elle te plait pas ? C’est pas toi qui disait que c’était la plus belle des mamans, quand tu étais petit ? Tu la trouve pas excitante ? - Heu ben si… - Alors régale toi ! Elle est à toi ! Je regardais ma mère, son corps nu offert, ses formes superbes de femme mûre, grande, généreuse, appétissante. Mon frère avait raison quelque part j’en avais toujours eu envie. Il y avait sa grosse, fantastique poitrine. Ca devait être un bonheur de la caresser. Depuis longtemps j’en rêvais. Alors puisque l’occasion m’en était donnée et que ma mère était d’accord pour se livrer entièrement à nous, je pris la décision d’en profiter. Je m’approchais et pris chacun de ses deux gros seins à pleines mains. Ils étaient vraiment beaux, un peu mou, mais si doux ! Je me mis à les malaxer avec lenteur et un grand plaisir. C’était réellement délicieux. J’excitais les tétons qui à ma grande surprise durcirent et se dressèrent. Alors doucement j’ai fait glisser ma main sur son ventre, son nombril, son bas ventre… J’eu quelques frissons mêlé d’appréhension lorsque mes doigts frôlèrent les poils de son pubis, puis les lèvres de son sexe. La peau de sa vulve était d’une douceur incroyable, fraîchement épilée. Aller plus loin ? J’hésitais. Ma mère était impassible, immobile. Le bandeau sur ses yeux m’empêchait de lire ses réactions. - Léo, tu es sûr que… - Elle est d’accord, je te dis, Kevin. Fais ce que tu veux d’elle ! C’est une cochonne. Elle aime ça, je te dis ! Ma mère ne disait rien, ne réagissait pas, ce qui pouvait confirmer les dires de mon frère. Alors un de mes doigts s’immisca au milieu, à l’entrée de son vagin. Je rentrais un doigt, puis deux, puis trois. Sa position, attachée jambes grandes ouvertes, laissait un accès aisé à son sexe, et je pouvais la doigter en toute tranquillité en prenant mon temps. Tout entier absorbé par l’examen de sa féminité, je constatais, ravi, les modifications que mes caresses produisaient. C’était fantastique. Petit à petit la vulve s’ouvrait, le vagin s’élargissait. Je rentrais et ressortais mes doigts régulièrement. A chaque fois ils ressortaient plus mouillés. Je rentrais deux, puis trois, puis quatre doigts, presque toute la main. Visiblement ma mère était elle même bien excitée par la situation. Léo avait bien raison quelle cochonne, quand même ! J’eu alors une idée folle. Et si j’allais encore plus loin ? Baiser ma mère. Voilà un fantasme qui m’avait toujours paru irréalisable. J’enlevais ma ceinture, retirais pantalon et slip. Léo sourit et acquiésca de la tête, ce qui voulait dire “vas y frérot, éclate toi !” Ma queue était déjà bien dure. Il faut dire aussi que des mois d’abstinence, sans copine, n’avaient pas eu pour effet de me calmer…Mon excitation était complète…Je bandais comme un fou. Alors je grimpais sur le lit, entre les jambes écartées de ma mère, et je dirigeai ma queue vers la vulve offerte… Je poussais. Ma mère poussa un léger cri en sentant mon sexe entrer en elle. De surprise ou de plaisir ? Qu’importe. Elle ne prononça pas un mot, ne fit pas un geste. Elle se laissait faire. Quelle chose incroyable de sentir sa queue fondre dans la chaude intimité de sa maman ! Je la rentrais en totalité, jusqu’au fond. C’était tellement bon ! Jamais je ne me serais attendu à ressentir un tel plaisir. J’ai entamé de longs va et vient, doucement, enivré par le plaisir. C’était divin. Je regardais ma queue aller et venir, dans ce sexe si excitant, disparaître au fond entièrement, puis ressortir trempée. En même temps je jouais avec sa grosse poitrine, pinçais les tétons. Je passais la main derrière ses fesses, les soulevais légèrement pour faciliter la pénétration, puis introduisais un doigt dans son anus, tout en continuant à la baiser. Ma mère n’était plus qu’un sexe, offerte, soumise et avilie, livrée à nous, pour notre plus grand plaisir. J’ai encore augmenté ma cadence, la baisant comme un fou, à grands coups de rein qui faisaient trembler le lit, qui auraient démonté des femmes plus fragiles qu’elle… De temps en temps, je m’arrêtais, pour me calmer. Puis je remettais ma queue et envoyais à nouveau des coups de rein bien sentis… …Jusqu’à sentir le plaisir m’envahir, me déborder. Je me laissais alors aller dans les entrailles de ma génitrice, avec délectation. La jouissance était délicieuse, tellement intense ! Après une bonne minute, étourdi par le plaisir, je me retirais, laissant mon sperme couler de la chatte de ma mère. J’étais encore sous le choc. Un tel plaisir m’avait achevé. Léo, assis à côté du lit, me regardait, amusé et visiblement satisfait de ma performance avec ma mère. - Tu as fini ? me demanda t-il. - Oui. - Bien. Tu t’es débrouillé comme un chef ! Je suis sûr qu’elle a dû bien jouir ! Allez, détache la maintenant. On recommencera demain. Moi aussi j’ai bien envie de la baiser, mais on a plus le temps. Il faut que j’y aille. Je vais bosser et après je rentre chez moi direct. J’obéis à mon frère et défis les liens de ma mère. Léo nous dit au revoir et s’en alla, nous laissant seul elle et moi. Maman attrapa sa culotte à côté du lit. Elle n’osait pas me regarder, visiblement honteuse de la situation, de sa faiblesse à céder à ses pires instincts, et du plaisir qu’elle retirait à se retrouver soumise sexuellement face à ses fils. Moi même j’avais quelques appréhensions à me retrouver seul avec elle. Elle était en train de terminer de se rhabiller, lorsque pour casser la glace, elle me demanda - Tu as bien aimé ? Tu voudras qu’on recommence ? - Heu oui… - Bon garde les cordes alors, cache les dans ta chambre. Demain c’est toi qui m’attachera. C’est pas compliqué mais il faut de bons noeuds, comme t’as dit ton frère.. Et elle fila dans la cuisine préparer à manger… Que se passa t-il le lendemain ? …. La maman perverse et soumise accepta t-elle de remettre ça ? La suite très bientôt… Ainsi ma mère était elle rentrée dans un jeu de soumission sexuelle avec nous, ses propres enfants. Plus j’y pensais, plus ça me semblait incroyable. Et pourtant je me rappelais la folle journée de la veille attachée à poil sur son lit par mon frère Léo, elle s’était livrée à nos pulsions les plus bestiales. Je l’avais baisée ! Et le pire est que je n’avais qu’une envie recommencer. J’étais un mec bien monté et viril. Je me régalais qu’une femelle s’offre à moi de cette façon, fut elle ma propre mère. Léo, lui, la baisait depuis un moment déjà. Il me raconta son histoire. Je découvrais des choses qui m’avaient été cachées jusque là. Léo était 5 ans plus âgé que moi. Il avait compris assez vite que notre mère accepterait de faire des choses habituellement interdites entre mère et fils. Au début il lui avait simplement demandé de voir ses seins. “Ils te plaisent ?”, avait naïvement demandé ma mère. Elle était fière de sa belle poitrine. Mais elle ignorait qu’elle mettait la main dans un engrenage infernal. Car Léo a vite exprimé ses intentions d’aller plus loin. Il s’est mis à exiger d’elle des choses de plus en plus compromettantes. “Montre moi ta chatte ! ”, ordonnait il. Ma mère avait la faiblesse d’obéir. Elle se retrouva à subir le caractère autoritaire de son fils, qui se révéla aussi être un chaud lapin. Elle cédait chaque jour un peu plus de terrain et dut subir ses attouchements, puis ses envies de sexe. Mon père était au courant de tout. Il avait surpris plusieurs fois Léo en train de peloter sa mère et se doutait qu’il se passait des choses bien pires en son absence. Il ne supportait pas que sa femme se laisse faire par ce petit morveux. Mais c’était un homme faible. Au lieu d’intervenir et de punir Léo, il supportait tout. Et s’il protestait, ma mère, lui répondait “c’est mon fils. Je ne peux pas le voir malheureux. Je suis désolée ”. Un jour mon père rentra du boulot un peu plus tôt que prévu et il trouva ma mère dans la chambre de Léo, en train de lui faire une fellation. Elle le suçait goulûment, introduisant avec un plaisir évident le sexe de son fils jusqu’au fond de sa gorge. Jamais elle n’avait montré une telle gourmandise avec mon père. Il en fut vexé et eu tellement honte qu’il prit ses affaires, quitta la maison et demanda le divorce. “C’est un con”, s’était bornée ma mère à dire pour tout commentaire… Du coup, Léo s’est retrouvé seul mâle dominant à la maison. Ma mère accepta de devenir son jouet sexuel. Etre soumise à son fils l’excitait beaucoup. Ce fut Léo qui dorénavant choisirait ses sous vêtements, qu’elle devait porter avec des jupes très courtes. Ou alors il l’obligeait à ne pas en porter du tout. Il vérifiait alors plusieurs fois par jour qu’elle était bien nue sous sa jupe. A tout instant il pouvait introduire ses mains entre ses cuisses et elle devait se tenir prête à se faire prendre par lui dès qu’il en avait envie. Mon frère ayant un appétit sexuel assez intense, c’était parfois plusieurs fois par jours qu’il lui demandait de la baiser. Elle avait interdiction de refuser. Ma mère avait cependant obtenu de Léo de rester très discret là dessus. Car avec ma soeur Zoé nous étions à l’époque beaucoup plus jeune que lui et nous ne pouvions pas comprendre ce qui se passait. Pourtant Léo était sûr de lui - Un jour Kevin sera un homme et il aura le droit de te faire ce qu’il veut. Tu devras lui obéir comme tu m’obéis à moi. Résignée, ma mère accepta, se disant qu’elle avait bien le temps de voir venir. Mais le temps passa plus vite que prévu jusqu’au jour où j’eu l’age officiel de profiter des charmes de notre mère. Il l’avait donc attachée nue sur le lit. Ma mère aimait ça, se faire attacher. Elle avait l’impression d’être dans un état de soumission totale, complètement vulnérable, n’attendant qu’une chose être prise par une grosse queue, celle de son deuxième fils en l’occurrence.. La suite vous la connaissez, je l’ai racontée dans le chapitre précédent. Le lendemain matin, j’étais quand même très gêné vis à vis de ma mère. On ne baise pas sa mère comme ça, sans conséquence. J’étais attablé pour mon petit déjeuner. Ma mère vaquait à ses occupations dans la cuisine. Elle était juste un peu plus sexy que d’habitude, portant juste sur elle une nuisette assez courte. A un moment elle se retourna vers moi et en me souriant, elle me demanda - Tu veux que je te suce ? J’étais heberlué. - Hein ? - Ben oui, c’est ton frère qui m’a demandé de faire ça. Je dois lui obéir…Lorsqu’il habitait à la maison, je faisais toujours ça avec lui le matin. Ca le détendait. Il veut que je fasse pareil avec toi. - Ha. Bon ok alors. Je sortais ma queue et ma mère, s’agenouillant devant moi, la mis dans sa bouche. Ses capacités en matière de fellation étaient admirables. Elle avait une façon de s’y prendre vraiment délicieuse, tout en légèreté et fermeté. Je n’ai pas tardé à jouir. Un jet sperme chaud inonda sa bouche, coula dans sa gorge. Bien que surprise, ma mère avala tout sans broncher. Puis elle se redressa, toujours souriante. - Bien, mon chéri. Dépêche toi, tu vas être en retard à la fac. La soumission de ma mère s’arrêtait au domaine sexuel. Pour les études, il était hors de question de transiger. Mais je devais avouer que je me sentais déjà plus léger. A regret je prenais mes affaires et m’en allais, déjà impatient de revenir le soir. “Je serai là, m’avait dit Léo, tu vas voir, on va s’éclater !” Ce soir là, une surprise m’attendait…Troisième volet de mon histoire au sujet ma mère. Il existe un certain nombre de famille où les enfants sont les rois. Mais il y a peu de familles où les choses étaient allées aussi loin que chez nous notre mère nous était entièrement soumise. Léo l’avait contrainte à être à notre service repas, lavage, ménage, mais aussi et surtout des choses qui allaient bien au delà du rôle d’une mère. Elle avait ainsi l’ordre d’être pleinement à notre service sexuel caresses, fellations, etc … nous n’avions dorénavant plus de limites dans nos exigences… Ce soir là, Léo m’avait promis de l’animation. Je rentrais donc impatiemment après mes cours. Avec surprise je constatais qu’il y avait du monde à la maison, au moins une dizaine de copains de Léo. Ils étaient tous là, en train de boire, manger. Léo faisait souvent ça, il aimait recevoir ses copains, faire des fêtes à la maison. Mais ce jour là, il leur avait promis quelque chose de mieux encore… - Ah, tu es là, Kevin ! s’exclama Léo en me voyant. C’est cool ! Tu vas voir, on va bien s’amuser ! Maman, viens par là ! Ma mère arriva, un plateau à la main avec des rafraîchissements. Visiblement c’était elle qui faisait le service. Faire office de servante pour ces jeunes hommes, ces copains de Léo, dont certains qu’elle connaissait depuis plus de 20 ans, n’était pas très digne pour une maman de son age. Mais le plus étonnant, c’était sa tenue elle était entièrement nue. Ma mère avait un gros cul superbe, des beaux seins magnifiques. Léo avait jugé que ça serait une très bonne idée d’offrir tout ça à l’admiration de ses invités. Ma mère regrettait d’avoir accepté, d’être si faible. Elle avait honte de cette soumission. Elle, la bourgeoise “ bien comme il faut” était tombée bien bas. En attendant, une fois de plus elle allait se plier aux demandes les plus perverses de son fils. Car Léo lui avait demandé cette fois d’aller plus loin, être entièrement à la disposition de ses copains, ne rien leur refuser, ni caresses, ni relations plus “poussées”… - Léo ! s’inquiéta ma mère, ils sont trop nombreux ! S’il te plait, c’est pas possible ! - Bien sûr que si maman ! Je ne peux pas annuler, maintenant, c’est trop tard ! Ca se passera bien, tu verras. Tu les connais tous, ce sont tous de très bons copains. Bien sûr, malgré les paroles rassurantes de Léo, ma mère restait extrêmement inquiète. En effet elle connaissait presque tous les copains de Léo. C’était justement ça le problème… L’idée de devoir accepter des attouchements sexuels de leur part lui était très difficile. Sa réputation allait sans doute être bien entamée… Et puis sous l’effet de l’excitation, qui sait de quoi ils seraient capables ? Ils allaient certainement en profiter ! Elle avait raison. Elle n’eu en effet pas longtemps à attendre pour voir ses prédictions se réaliser. Sous l’effet de l’alcool, les esprit s’échauffaient. Plusieurs copains de Léo osèrent porter leur main à son cul lorsqu’elle passait devant eux avec son plateau. Puis l’un d’eux fut plus entreprenant. Il la fit basculer dans le sofa où il était assis. - Léo, tu sais qu’elle est vraiment excitante ta mère ? Elle me fait bander depuis des années ! - C’est vrai ? Alors amuse toi mon pote ! Le gars ne se fit pas prier. Devant tout le monde, il commença à caresser ma mère partout, ses jambes, ses seins, puis descendit vers sa chatte, entourant avec délectation les doigts dans les longs poils doux de son sexe. Puis il se mis a la doigter. Ma mère, passive, laissa les doigts impatients du jeune homme explorer son vagin. En peu de temps,elle se retrouva entièrement livrée à l’appétit de ces jeunes mâles affamés. Plusieurs autres gars s’étaient rapprochés, se pressant les uns contre les autres pour essayer de toucher une partie de son corps, ses seins, sa chatte, son cul. Ma mère avait des mains partout, était un peu débordée. Un des mecs d’ailleurs un de ceux qu’elle connaissait depuis que lui et Léo étaient enfants avait même sorti sa queue et essayait de la mettre dans sa bouche. Léo dut intervenir. - Ho, les copains ! Tout doux ! Il y en aura pour tout le monde. Allez, on va s’organiser si vous voulez qu’elle vous suce, mettez vous en rang et sortez votre queue. Obéissants, tous les garçons se mirent les uns à coté des autres et sortirent leur queue. C’était surréaliste, tous ces jeunes mecs la queue à l’air. Docilement, ma mère se positionna devant le premier qui bandait déjà bien, et le suça avec application. Puis elle passa au deuxième, et ainsi de suite. Lorsqu’elle avait bien sucé une queue, elle passait à la suivante… Le pire pour ma mère était que quelque part, même si elle mourrait de honte, elle aimait bien ça, avoir toutes ces queues dans sa bouche, toutes différentes, en taille, en texture, en goût. “Je suis une salope” se lamentait elle intérieurement. Tout d’un coup elle arriva sur une belle queue qui lui rappela quelque chose de familier, et pour cause c’était la mienne. Avec Léo, il n’y avait pas de raison qu’on se prive. Après toutes ces queues étrangères, ma mère ressenti comme un soulagement d’arriver sur celles de ses deux fils. Elle s’aperçut qu’elle aimait nos deux queues, ce qui ne fit qu’augmenter sa honte. Elle nous suça plus longtemps que les autres, avec un plaisir et une délectation coupable. Léo me glissa à l’oreille - Elle adore ça ! Elle est chaude bouillante. On va pouvoir passer aux choses sérieuses ! Viens, je vais te montrer quelque chose. Il m’ entraîna, dans la pièce à coté. Là, au milieu de la pièce, il y avait un fauteuil en cuir avec deux étriers un fauteuil d’examen gynécologique. - C’est quoi ça, Léo ? Tu as eu ça où ? - Par internet. Pas mal, non ? Léo baissa le fauteuil à son maximum, l’inclina en position couchée, puis appela notre mère. Elle avait bien sûr déjà vu l’engin et se doutait à quelle utilisation Léo le réservait. Léo l’obligea à s’y asseoir, toujours nue, écarter les jambes et les poser dans les étriers. La position était magnifique, offrant une vue de rêve sur son sexe c’était bien le but du fauteuil. - Le mieux serait qu’on t’attache les chevilles aux étriers avec les sangles. Tu es d’accord, maman ? Il y avait en effet deux sangles qui devaient empêcher complètement la “patiente” de bouger. - Oui, allez y… répondit elle en évitant de nous regarder. Avec Léo on s’étonnait toujours que ma mère accepte ce genre de traitement. Mais on savait quelle aimait cette sensation d’être attachée, livrée à nos fantasmes. - C’est pas mal, hein ? Tu vas être bien, comme ça, maman ! A la perspective de ce qui allait arriver, ma mère eu à nouveau très peur. Allait elle pouvoir tenir ? Elle eu l’idée de tout arrêter, mais c’était trop tard. Tous les mecs étaient excités comme des fous à l’idée de se taper la maman bourgeoise. Déjà ils se pressaient dans la pièce, la bite à l’air, prêts à l’enfiler. - Attendez les gars, avec mon frangin on passe avant ! C’est notre mère, quand même ! Léo se présenta entre les jambes de maman. Il la regardait allongée dans le fauteuil d’examen, jambes ouvertes, sexe exposé. Sa vulve était magnifique, faite pour recevoir des queues. Léo allait être le premier de la soirée à y enfoncer la sienne. Mais avant ça il introduit deux doigts dans son vagin. Il les ressortit trempés, me regardant avec un sourire satisfait ma mère mouillait. Cette situation d’extrême soumission l’excitait. Léo la pénétra avec délice. Puis il la baisa énergiquement. Je regardais la longue et belle queue de mon frère entrer, sortir, disparaître entièrement dans le vagin de maman. C’était impressionnant. J’avais toujours été étonné de cette capacité des vagins féminins à recevoir de tels engins…Quelques minutes après Léo éclata dans un cri de jouissance. - Putain, c’est bon !!! Allez Kevin à toi ! Trop excité pour me retenir plus longtemps, je me positionnais devant ma mère et la baisais à mon tour comme une vraie salope. C’était délicieux, incroyablement intense. Ma mère gardait les yeux fermés, mais ne pouvait s’empêcher de laisser échapper quelques gémissements. Était ce de plaisir ? Je supposais que oui un liquide très blanc suintait de sa chatte sa cyprine. Du coup je me sentais doublement excité. Je la baisais avec un énorme plaisir. Tellement bien que moi aussi je ne tardais pas à jouir à l’intérieur d’elle. Les autres copains se succédèrent derrière nous. Tous ils trempèrent leur queue dans la chatte offerte, sans aucune hésitation. Et que plusieurs mecs soient passés avant eux, que ma mère soit dégoulinante de sperme, ne les gênait visiblement pas tellement ils avaient envie. Certains revinrent même la baiser une deuxième fois. Ils remettaient leur queue avec le même désir, la bourraient de coups de reins bien sentis qui faisaient vibrer le fauteuil et ma mère avec. D’autres étaient plus doux, imprimaient de lents à et vient à l’intérieur de cette maman offerte. Ceux qui connaissaient ma mère depuis des années se régalaient vraiment. Qu’ils aient fantasmé sur elle étant plus jeunes ou pas, elle restait la maman qu’ils respectaient… jusqu’à ce qu’ils découvrent qu’elle s’abandonnait volontiers à ces jeux pervers, que c’était une maman cochonne qui aimait la bite… Ce n’est qu’au bout d’une bonne heure que tous furent rassasiés. Ils laissèrent enfin ma mère tranquille, se rhabillèrent et s’en allèrent. Nous restions seuls avec maman. Léo l’avait détachée. Elle s’assit sur la chaise pour reprendre ses esprits. Une heure sur le fauteuil de gynécologie, à se prendre des bites, l’avait quelque peu perturbée. Le sperme dégoulinait de sa chatte, coulait entre ses jambes. Alors elle se leva et fila dans la salle de bain pour nettoyer tout ça. Avec Léo, nos étions allés un peu loin. Comment allait elle réagir ? C’est avec appréhension que nous la vîmes sortir de la salle de bain, un peignoir sur le dos. La tête baissée, elle demanda timidement - Vous avez faim ? Je peux préparer à manger si vous voulez… - Volontiers ! avons nous répondu de concert, ravis qu’elle ne semble pas plus affectée que ça par ce qui venait de se passer. Sous nos regards scrutateurs elle se dirigea alors vers la cuisine. Je remarquais avec une certaine satisfaction que son peignoir était bien ouvert, que ma mère ne prenait pas le soin de cacher ses seins. ce qui me donna envie de les caresser à nouveau…Je dois parler à présent de ma soeur, Amandine, tout juste 18 ans à cette époque. Amandine est plus jeune que moi, je l’avais toujours considérée comme une gamine. J’allais découvrir que ce n’était vraiment plus le cas Elle était pensionnaire dans un lycée éloigné et ne rentrait que tous les 15 jours à la maison. Elle n’avait aucune idée de ce qui s’était passé depuis quelques jours avec maman, qu’elle était devenue en quelque sorte notre servante sexuelle, entièrement soumise à nos fantasmes les plus pervers. C’est pourquoi j’avais un peu d’appréhension de la voir rentrer ce jour là. Comment allions nous faire pour lui expliquer tout ça ? Lorsque je rentrais à la maison vers la fin d’après-midi, Amandine était déjà là, confortablement installée dans un sofa. Elle portait un t shirt serré qui moulait parfaitement ses petits seins, et une petite jupe très courte qui dévoilait ses jambes splendides. Ma petite soeur savait être vraiment sexy quand elle voulait. - Amandine, tu es déjà rentrée ? - Ben oui. Comme tu le vois, on a fini plus tôt cette semaine. - Et Léo, il est pas là ? - Je suis là, frérot ! Je tournais la tête. Léo était assis dans un coin de la pièce. Il souriait, visiblement heureux que nous soyions tous les trois réunis. - Kevin, on a une surprise pour toi, continua Léo. Maman, tu viens ? Ma mère entra dans la pièce… Elle marchait doucement, la tête baissée. Elle portait un chemisier très décolleté et une mini jupe qui lui arrivait au ras des fesses. - Maman, s’il te plait déshabille toi ! Ordonna Léo - S’il vous plait, les garçons, pas ça, ne mêlez pas votre soeur à tout ça, elle est trop jeune… - Maman, Amandine n’est plus une gamine. Et puis de toutes façons tu n’as pas le choix ! Déshabille toi, c’est un ordre. Ma mère avait accepté les règles du jeu. Contrainte de nous obéir, elle enleva lentement son chemisier et fit glisser sa robe sur ses chevilles. Puis elle retira soutien-gorge et culotte. Elle nous fit face dans sa plus belle nudité, silencieuse, tête baisée, attendant la suite des opérations. Léo se tourna alors vers moi - Kevin, j’ai expliqué à Amandine ce qui se passe avec maman, et elle est d’accord. Elle trouve même que c’est une bonne idée… Ma petite soeur, toujours assise au fond de son canapé, acquiesca. - Amandine, continua Léo, maman est à toi. Tu as compris le principe. Demande lui ce que tu veux, elle t’obéira. - Ce que je veux ? interrogea Amandine. - Bien sûr soeurette. Vas y. Amandine afficha alors un large sourire de satisfaction complice. Elle hésita quelques secondes mais pas plus. Puis elle se tourna bien face à notre mère et écarta largement les cuisses, dévoilant ostensiblement son entre-jambe. A ma grande surprise, sous sa jupe trop courte, Amandine ne portait pas de culotte. Elle exhibait sa magnifique petite chatte épilée. J’avais déjà vu ma soeur à poil, mais jamais comme ça, superbe dans sa nudité, incroyablement excitante. - Maman, ordonna Amandine, viens me lécher ! Ma mère écarquilla les yeux de surprise. Lécher la chatte de sa fille n’était pas une chose qu’elle avait envisagé de faire, dans sa vie. Mais visiblement elle allait devoir s’y mettre. Après tout elle avait accepté le jeu de la soumission. Obéissant à l’ordre donné, notre mère se mit alors alors à quatre pattes devant le canapé, entre les jambes grandes écartées d’Amandine. Là elle avança son visage, et commença à poser quelques coups de langue timides sur la vulve qui lui était présentée. Puis, se rapprochant encore, elle se mit à la lécher plus franchement, alternant coups de langue gourmands et léchouilles plus ciblées sur le clitoris de de sa fille. Celle ci, pour lui faciliter les choses, avait écarté les lèvres de sa vulve avec deux doigts. Du bout de la langue ma mère pouvait ainsi stimuler efficacement le clitoris de sa fille. Je n’en revenais pas. Comment une mère peut elle faire ça, un cunnilingus sur sa propre fille ? C’était un peu fort… Ceci dit, il fallait reconnaître que le traitement de ma mère était efficace. Amandine avait du mal à retenir des gémissements de plaisir. La langue de notre mère semblait en effet d’une grande agilité, explorant habilement tous les plis et replis du sexe de sa fille. Elle avait mit des doigts dans sa chatte, tout en la léchant. Amandine dégoulinait de cyprine, et maman léchait tout avec gourmandise. Décidément, ma mère semblait aussi habile pour les cunnilingus que pour les fellations. Pour ma part, je trouvais ça aussi follement excitant. Léo s’était rapproché pour mieux voir. - C’est beau, hein ? Elle lèche bien, maman, tu trouves pas ? Quelle grosse cochonne. Et à quatre pattes comme ça, on dirait une vraie chienne en chaleur ! Regarde ce cul. Ça donne vraiment envie d’y mettre sa queue, hein Kevin ? - C’est sûr ! - ok, alors à toi l’honneur, frérot Vas y, baise la ! Pendant que ma mère continuait de lécher Amandine, je venais alors me placer derrière elle. Elle avait deux fantastiques fesses, bien en chaire, presque énormes. Certains les auraient trouvées trop grosses, mais moi elle me plaisaient beaucoup. Je les écartais avec plaisir, dévoilant alors tout son jardin secret, sa fantastique vulve. Je bandais comme un fou dans mon pantalon. Je libérais alors ma queue, que je positionnais derrière ma mère, à l’entrée de son sexe. Sans plus de préliminaires, je la pénétrais. Une nouvelle fois je me retrouvais au fond de ce vagin que j’aimais tant. J’entamais des va et vient absolument délicieux. - Ha c’est une bonne maman soumise, ça ! exultait Léo en caressant la tête de ma mère. Tu aimes ça, te faire baiser par ton fils, hein ? Ma mère ne répondit pas, toute occupée à lécher Amandine. Mais je sentais qu’elle aimait ça, se faire ramonner par ma belle queue longue et dure. Au bout d’un moment, Léo passa à côté de moi, derrière ma mère. - Allez, à mon tour ! me dit il. Laisse moi baiser notre grosse cochonne de maman ! Laissant un peu à regret le tour à mon frère, je m’écartais pour qu’il vienne pénétrer notre mère. J’étais cependant loin d’être rassasié. Mais j’avais une autre idée. Depuis un moment, avec Amandine, on se lançait des petits regards en coin. Les léchouilles d’une maman, c’est bon, mais je sentais que ma soeur avait envie d’autre chose…d’une bonne grosse queue par exemple. Et moi j’avais bien envie de la dépanner. J’en pinçais assez pour elle, ma frangine adorée. Je l’avais souvent matée la nuit nue dans son lit, ou dans sa douche. La coquine n’était pas très pudique. Mais nous n’étions jamais allé plus loin… Alors je l’ai rejoint sur le canapé. Pendant que ma mère était occupée à se faire baiser par Léo, je faisais pivoter Amandine vers moi et présentais ma queue entre ses jambes. Ma soeur se mordait les lèvres d’impatience, me suppliant des yeux de venir la pénétrer sans attendre. - Ha oui frérot, j’en ai trop envie, viens ! Assez heureux de constater avec quel désir ma chère soeur regardait ma grosse queue, je la rentrais dans son petit vagin. Contrairement à ma mère, Amandine était plutôt serrée. Quel délice ! J’entamais une série de va et vient qui enchantèrent ma soeur. Avec habilité, j’alternais mouvements rapides avec des manoeuvres plus douces. Amandine se mit à gémir et miauler comme une chatte en chaleur. Ma queue produisait des miracles… De son côté, Léo baisait notre mère avec hardeur. Toujours en position de levrette, il empoignait à deux mains son gros cul tout mou, rentrait les doigts dans la chaire, imprimant à ce postérieur fantastique des mouvements de va et vient frénétiques, agitant toute cette chaire dans tous les sens. Il la défonçait littéralement, c’était presque violent. Puis il écarta les deux globes du fessier maternel, dégageant son anus. Depuis toujours il était fasciné par le trou du cul de notre mère. Il avait une envie folle de la prendre par là. Il cracha dessus pour le lubrifier, puis introduit un doigt à l’intérieur. Le doigt rentrait bien, avec une facilité encourageante. Alors il présenta sa queue et fit pénétrer le bout de son gland. Il le retira, lubrifia un peu, puis remis sa queue, un peu plus profond. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il la rentre entièrement… Là encore se sentis ma mère un peu décontenancée. A 50 ans passé, elle ne se serait jamais douté qu’un jour elle allait se faire sodomiser par son fils…Et qu’en plus elle prendrait plaisir à la chose… Quant à ma soeur elle se régalait aussi de prendre ma queue, c’était une évidence. Plus j’y mettais de l’intensité, plus elle aimait. Voir sa mère se faire baiser par Léo, en plus, l’excitait au plus au point. Lorsqu’elle vit Léo rentrer sa queue dans le cul de maman, elle exulta - Kevin, moi aussi ! Je veux que tu m’encule ! J’étais un peu choqué que ma jeune soeur me demande aussi crûment ce genre de chose. Jusqu’à il y a peu, je la pensais vierge. Mais je n’avais aucune raison de refuser sa demande. Je la laissais ainsi se mettre à 4 pattes, me présenter son cul, et avec précaution j’y rentrais ma queue… Quel bonheur ! Là aussi je n’avais jamais imaginé ressentir un tel plaisir à ce genre de pratique avec Amandine… Ce jour là nous avons passé une bonne heure d’échanges torrides avec Léo, ma mère et ma soeur. Jamais je n’avais ressenti une telle extase sexuelle. Je sentis alors le besoin impérieux de me libérer. J’étais couché sur Amandine, le sexe bien au fond de son vagin. - Amandine, je suis trop excité, je vais…je vais.. - Vas y frérot, lâche toi, je prends la pilule, t’en fais pas ! Je me laissais alors aller dans une jouissance incroyable, déversant des litres de sperme à l’intérieur de ma petite frangine chérie… De son côté, en m’entendant jouir, Léo se retira de ma mère et se positionna au dessus de son visage. Il avait envie de lui jouir dessus. Il lui suffit de se branler quelques secondes pour éjaculer sur notre malheureuse maman, aspergeant son visage de sa généreuse semence… Elle en avait partout. Cependant, loin d’être dégoûtée, elle lécha ce jus, avec délectation jusqu’à la dernière goutte. Nous sommes restés ainsi un long moment immobiles, térrassés par la jouissance. Puis Amandine rompit le silence. - C’était super les garçon ! Je me suis régalée ! Quelle bonne idée, ce jeu avec maman, et merci de m’avoir invitée à y participer ! Je crois qu’on va bien s’amuser maintenant ! … Décidemment, j’ adorais ma soeur… Épilogue Ma mère avait fini par s’habituer à sa situation, soumise à ses deux fils et à sa fille. Amandine notamment adorait passer de longs moments avec maman, à poil, à se frotter le minou contre le sien, se faire lécher, et elle même la lécher. Elle expérimenta toute sortes de godes qu’elle adorait enfiler dans le vagin de sa mère, avant de nous demander, à nous ses frères, de venir la baiser Amandine adorait nous sentir la prendre en double pénétration, et nous étions heureux de la satisfaire le plus souvent possible. Cette situation dura de longs mois, jusqu’à ce que notre mère, à bout de nerf, raconte ce qui se passait chez elle à une de ses copines. La copine fut horrifiée et lui conseilla d’aller voir un psychologue sans tarder. Ma mère voyait bien aussi que tout cela n’était pas normal. Elle fut d’accord pour l’idée du psychologue. Hélas pour elle, elle tomba sur un jeune gars qui se trouva être un parfait escroc. Pendant ses séances, afin de mieux cerner l’origine du problème, il lui proposa de se mettre en condition réelle elle du se mettre à poil et se laisser baiser par lui pendant qu’il l’appelait “maman” et la traitait de grosse cochonne, imitant ce que nous faisions avec elle. Après quoi le gars lui demandait de raconter ce qu’elle avait ressenti pendant l’acte, si elle avait joui. Il prenait des notes et lui disait au revoir. Ce n’est qu’au bout de 3 séances que ma mère réalisa que ces séances n’avaient pas d’effet et que ça revenait juste pour elle à payer 50 € pour se faire baiser par ce salop… Elle alla alors voir un autre psychologue plus sérieux. Mais après deux séances, le gars lui posa la question fatidique - Mais en fait, madame, vous aimez bien ça, au final être au service de vos fils, de votre fille, et avoir des relations sexuelles avec eux ? Ma mère du reconnaître que oui. Le psychologue en conclut qu’elle n’aurait pas la motivation d’arrêter et que ses services seraient alors inutiles. C’est ainsi que ma mère accepta définitivement la situation être soumise à ses enfants et faire l’amour avec eux était la meilleure façon pour elle de jouir. Elle culpabilisait, mais d’un autre côté ressentait trop de plaisir pour renoncer à ça. Le temps passa. Léo, Amandine et moi nous avions, grâce à notre mère, une vie sexuelle bien remplie. Nous baisions plusieurs fois par semaine tous ensemble. Toutefois nous trouvions le besoin de relations amoureuses plus “normales”. Nous nous sommes donc trouvés des conjoints “officiels”, avec qui nous nous sommes mariés, et pour ma part, ainsi qu’Amandine, nous avons eu des enfants. Mais nous manquions à notre mère. Celle ci, célibataire, trouvait peu d’intérêt à la fréquentation d’autres hommes. Tant qu’à faire l’amour, c’est avec nous qu’elle voulait le faire… Elle était accroc à sa relation avec nous. Faire l’amour avec ses enfants était ce qu’elle aimait le plus au monde. Alors, régulièrement, tous les quinze jours nous nous retrouvions chez elle, pour un dîner de famille, juste nous quatre. En fait de diner familial, il s’agissait d’une bonne partie de baise… Comme au bon vieux temps, maman nous reçevait habillée très léger… Encore superbe pour son age, elle adorait nous exciter avec des tenues sans arrêt plus provocantes. Nous prenions le repas, puis passions dans le salon où notre mère se mettait nue, attendant nos ordres pour à nouveau se faire baiser… Le sexe avait fini par resserrer nos liens d’une manière très solide. Le jeu de soumission existait toujours, mais tout ça donnait au final beaucoup de piment à nos réunions familiales. A l’heure ou je finis d’écrire cette histoire, j’entends ma soeur Amandine qui vient me récupérer en voiture. Nous allons chez maman… Je bande dèjà. Encore une bonne après midi en perspective ! See more posts like this on Tumblr histoire inceste mère fils Afficher Masquer le sommaireNehuda frappe fort avec un retour très remarqué sur les réseaux sociauxNehuda fait face à de graves polémiques dans sa vieNehuda balance tout sur les réseaux sociaux, découvrez la photo choc C’est un nouveau coup de théâtre pour Nehuda que l’on a pu découvrir contre toute attente sur les réseaux sociaux avec une photo complètement dingue. En effet, personne n’aurait pu être en mesure d’imaginer que la jeune femme qui a pu participer à des émissions de téléréalité fasse autant parler d’elle, et le moins que l’on puisse dire c’est que la situation est sur le point d’exploser ! Personne n’aurait pu penser un jour voir cela de la part de Nehuda, et le moins que l’on puisse dire c’est que cette dernière a réussi à faire vraiment très fort ! En effet, la toute dernière publication de Nehuda ne risque pas de passer inaperçue quand on voit toutes les autres publications que peuvent faire régulièrement les autres grandes stars de la téléréalité comme Maeva Ghennam ou encore Nabilla. Nehuda frappe fort avec un retour très remarqué sur les réseaux sociaux Mais cette fois-ci, il semblerait bien que Nehuda ait pu décider contre toute attente de remettre les pendules à l’heure dans un contexte où il se trouve que nous avons toutes et tous besoin de chaleur ! En effet, les températures sont glaciales ces jours-ci et Nehuda compte bien réchauffer le monde avec ces belles photos comme vous allez pouvoir le constater… On avait pu en effet par le passé voir des clichés très osés de la part de Nehuda, mais personne ne pensait que la star de la téléréalité allait pouvoir diffuser des clichés aussi étonnants sur son réseau social favori et tout le monde a été vraiment pris par surprise ! Ces derniers mois ont pourtant été très difficiles à vivre pour Nehuda, avec une polémique dont tout le monde se souvient encore ces derniers temps sur l’île de la Réunion… Nehuda fait face à de graves polémiques dans sa vie On se souvient en effet du mois de janvier dernier, où la situation a vraiment été catastrophique pour Nehuda, qui était alors dans la tourmente avec son compagnon Ricardo. Il se trouve qu’à l’époque, toute l’équipe de l’émission de téléréalité des Vacances des Anges se trouvait sur place, et pour des raisons qui sont encore assez obscures, il se trouve qu’une altercation aurait eu lieu. C’est alors que le maire de la ville lui-même de la ville de Saint André avait pu prendre la parole contre toute attente pour pouvoir accuser violemment les candidats de téléréalité. Dans la tourmente, on avait ainsi pu voir les différents protagonistes de cette affaire dans des situations assez difficiles, et personne ne savait à l’époque comment la situation allait pouvoir évoluer. Heureusement, Nehuda est aujourd’hui de retour avec des sujets qui sont beaucoup plus légers, et cela devrait rassurer son audience qui en demande encore ! Nehuda balance tout sur les réseaux sociaux, découvrez la photo choc Alors que certains fans ne se sont pas encore remis des derniers clichés de Nehuda qui a pu mettre le feu à la toile encore récemment, il se trouve que l’on a pu découvrir une nouvelle photo qui va ravir ses plus grands fans, c’est le moins que l’on puisse dire. En effet, la jeune femme n’a pas froid aux yeux et elle compte bien le montrer avec ces clichés où elle ne porte que très peu de vêtements. Sur la dernière photo que l’on a pu découvrir de sa part, c’est bien simple elle ne porte même pas de petite culotte ! Les commentaires sur la toile n’ont alors pas arrêté d’affluer et il se trouve que certains d’entre eux sont complètement sous le choc, comme cela a peut être été le cas pour vous…

elle joue au tennis sans culotte