Cecim'amène à une réflexion de mon fils quand il était petit. Sur la route de Bretagne on passe par tous les temps, pluie, éclaircie, grand soleil. Mon fils "Tiens ! Il pleut ! Quelque temps après : "Tiens ! Y'a du soleil. et bientôt il va y avoir un arc en ciel et l'arc en ciel c'est quand le soleil et la pluie font la paix.
Quandil pleut, cherchez des arcs-en-ciel quand il fait sombre, recherchez l’impression d’étoiles. Un imprimé météo mignon, joyeux et coloré avec un message inspirant. Parfait dans une crèche neutre ou comme un imprimé lumineux et joyeux dans une salle de jeux pour tout-petits ou une grande chambre
ARCEN CIEL Tu m’appelles à la prière quand je te regarde, VIOLET, toi qui brille dans le royaume incommensurable de l’éternité. Le calme m’envahit. En toi, BLEU, je peux me reposer, pénétré de ton ambiance paisible. Et c’est comme si j’avais quitté les Lire la suite — Repost 0. SUPPLIQUE nephret — 7 Novembre 2020. SUPPLIQUE Combien me reste-t-il de printemps à
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trouventle temps long L’idée est un caillou par terre tandis que la pensée ne tient pas dans la main Il faut des siècles pour construire une montagne mais pour l’arc-en-ciel il suffit d’un instant s’il pleut dans le soleil Un néant de brocante occupe les esprits La poésie n’est pas de capturer la durée du temps dans l’extase du
Ilpleut sur la colline, Elle danse la brebis. Le ciel faisant grise mine, Fouette fraîchement sa vie! O pluie soudaine! Tu frappes la plaine, Tu laves la terre, Et fais naître les "vers" O pluie du ciel! Tu fais arc-en-ciel Quand le soleil se traîne Au travers ton domaine. Douce pluie adamantine, Tu nourris les racines, Fais pousser l'églantine Qui ornera la colline
Ilpleut, Mais c'est le printemps. Soudain près des troncs verts, On entend le bruit de la mer, Le chant d'une sirène égarée, Qu'un jeune vent fou vient d'enlever. Volage, fougueux, écervelé, Il se cabre dans la frondaison, Comme un jeune étalon.
Leproblème, c’est qu’il ne survient que sous certaines conditions : il faut qu’il pleuve. Et personnellement, la pluie, c’est pas mon truc. Quand il pleut, je suis souvent d’humeur maussade. Je suis donc en général d’humeur maussade quand je vois les arcs-en-ciel que j’affectionne pourtant tant. Ce qui gâche légèrement mon
poésiepoèmes,concours de poésie,concours de poèmes,poésie en ligne,poèmes en ligne,lettres d'amour,poèmes d'amour,citations,blagues,contes et nouvelles,contes et nouvelles en ligne,créations artistiques . Oasis des artistes: Poésie en ligne, Concours de poèmes en ligne - 6470 membres ! S'inscrire. S'inscrire; Navigation; Règles & usages; Accueil; Connexion. Pseudo
Etqui devant le même ciel rouge au coucher du soleil ne s’est pas frotté les mains de satisfaction devant la bonne journée du lendemain pleine de promesses ! Voici, en quelques dictons, ce qui se dit sur le temps dans nos campagnes. Si le soleil se réfléchit dans les nuages, de la pluie prends garde Soleil du matin apporte la pluie en chemin Si le mistral commence de jour, il
pAmxAH4. Les fleurs arc-en-ciel...... par Christine Votre navigateur ne supporte pas le lecteur mp3. par Sosso C'était une jeune fille de la rue Qui vendait des fleurs le dimanche Elle était petite et menue De grands yeux tout noirs , une peau blanche. Les femmes la r'gardaient de travers La trouvant beaucoup trop jolie Sous son parapluie les hivers Sous l'ombrelle quand le soleil luit. Elle chantait Tout le temps Et son chant fleurissait les passants. "Achetez mes fleurs arc-en-ciel, Ce s'ra du bonheur pour toujours Elles sont comme des coeurs qui veillent Des anges aux couleurs de l'amour, Une fleur dans votre maison C'est comme un éclat de soleil Mais si,je vous jure,j'ai raison Achetez mes fleurs arc-en-ciel." Les hommes étaient tous sous son charme Craquant pour son joli sourire C'est ce qui devait faire son drame Trop d'amour peut faire mourir. Les femmes devenues trop jalouses Un beau matin ce fût l'horreur Dans le parc sur la pelouse Elle gisait un couteau dans le coeur. Et depuis Le dimanche Sa mère chante les mains sur les hanches. "Achetez ses fleurs arc-en-ciel Ce s'ra du bonheur pour toujours Un peu d'elle qui chez vous veille Mon ange,ma fille,mon amour, Un' fleur d'elle dans votre maison Ca s'ra un éclat de soleil Juste pour demander pardon Achetez ses fleurs arc-en-ciel. Poète Interprète
Une belle coccinelleDescendue d'un nuage grisA dérapé sur son ailePour me faire son charivariMe sortant de ma quiétudeA rompu ma solitudePour me raconter sans détourLes frasques nues de ses qu'elle regardait le cielSe délectant d'un arc en cielIl s'est approché près d'elleChantant une ritournelleComptant les taches de son dosLui fit le coup du tourne dosSans qu'elle ne sut lui dire nonDe son amour lui faisait encor' vierge coccinel'Lui toujours puceau coccinel'Ne purent aux sens résisterSans l'avoir vraiment souhaitéSe trouvèrent à copulerSans le savoir à procréerFace aux couleurs de l'arc en cielQui marient l'eau et le coccinelle a perdu quelques tachesQuand Monsieur a voulu jouer le bravacheEt pour lui montrer la fougue de son amourLa tenant serrée la promène aux alentoursEn une course folle entre les nuagesPoussant des cris vrillant de l'aile en sa rageEt tout soudain lui perçant la carapaceL'électrise puis la lâche en plein à cette étreinteDame coccinel' s'ébroueSur une lèvre peinteDu livre sur mes genouxUn dernier baiser au volDu papier prend son envolPour aller voir de nouveauLes couleurs soleil et eau.
LXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercleSur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,Et que de l'horizon embrassant tout le cercleII nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide,Où l'Espérance, comme une chauve-souris,S'en va battant les murs de son aile timideEt se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînéesD'une vaste prison imite les barreaux,Et qu'un peuple muet d'infâmes araignéesVient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furieEt lancent vers le ciel un affreux hurlement,Ainsi que des esprits errants et sans patrieQui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. Charles Baudelaire 1821-1867, les Fleurs du mal» “Quand je n'ai rien à faire...” l'été vu par Hugo, Gautier, Cros et Rimbaud La Pluie Longue comme des fils sans fin, la longue pluieInterminablement, à travers le jour gris,Ligne les carreaux verts avec ses longs fils gris,Infiniment, la pluie, La longue pluie, La pluie. Elle s'effile ainsi, depuis hier soir,Des haillons mous qui pendent,Au ciel maussade et s'étire, patiente et lente,Sur les chemins, depuis hier soir,Sur les chemins et les venelles,Continuelle. Au long des lieues,Qui vont des champs vers les banlieues,Par les routes interminablement courbées,Passent, peinant, suant, fumant,En un profil d'enterrement,Les attelages, bâches bombées ; Dans les ornières régulièresParallèles si longuementQu'elles semblent, la nuit, se joindre au firmament,L'eau dégoutte, pendant des heures ;Et les arbres pleurent et les demeures,Mouillés qu'ils sont de longue pluie, Tenacement, indéfinie. Les rivières, à travers leurs digues pourries,Se dégonflent sur les prairies,Où flotte au loin du foin noyé ;Le vent gifle aulnes et noyers ;Sinistrement, dans l'eau jusqu'à mi-corps,De grands boeufs noirs beuglent vers les cieux tors ; Le soir approche, avec ses ombres,Dont les plaines et les taillis s'encombrent,Et c'est toujours la pluieLa longue pluieFine et dense, comme la suie. La longue pluie, La pluie - et ses fils identiquesEt ses ongles systématiquesTissent le vêtement,Maille à maille, de dénûment,Pour les maisons et les enclosDes villages gris et vieillots Linges et chapelets de loquesQui s'effiloquent,Au long de bâtons droits ;Bleus colombiers collés au toit ;Carreaux, avec, sur leur vitre sinistre,Un emplâtre de papier bistre ;Logis dont les gouttières régulièresForment des croix sur des pignons de pierre ;Moulins plantés uniformes et mornes,Sur leur butte, comme des cornes Clochers et chapelles voisines,La pluie, La longue pluie, Pendant l'hiver, les assassine. La pluie, La longue pluie, avec ses longs fils ses cheveux d'eau, avec ses rides,La longue pluieDes vieux pays,Éternelle et torpide ! Emile Verhaeren 1855-1916 C'est l'automne si on en profitait pour lire un peu d'Apollinaire ? Après le déluge Aussitôt après que l'idée du Déluge se fut rassise, Un lièvre s'arrêta dans les sainfoins et les clochettes mouvantes, et dit sa prière à l'arc-en-ciel, à travers la toile de l'araignée. Oh! les pierres précieuses qui se cachaient, - les fleurs qui regardaient déjà. Dans la grande rue sale, les étals se dressèrent, et l'on tira les barques vers la mer étagée là-haut comme sur les gravures. Le sang coula, chez Barbe-Bleue, aux abattoirs, dans les cirques, où le sceau de Dieu blêmit les fenêtres. Le sang et le lait coulèrent. Les castors bâtirent. Les mazagrans» fumèrent dans les estaminets. Dans la grande maison de vitres encore ruisselante, les enfants en deuil regardèrent les merveilleuses images. Une porte claqua, et, sur la place du hameau, l'enfant tourna ses bras, compris des girouettes et des coqs des clochers de partout, sous l'éclatante giboulée. Madame *** établit un piano dans les Alpes. La messe et les premières communions se célébrèrent aux cent mille autels de la cathédrale. Les caravanes partirent. Et le Splendide-Hôtel fut bâti dans le chaos de glaces et de nuit du pôle. Depuis lors, la Lune entendit les chacals piaulant par les déserts de thym, - et les églogues en sabots grognant dans le verger. Puis, dans la futaie violette, bourgeonnante, Eucharis me dit que c'était le printemps. Sourds, étang; - écume, roule sur le pont et passe par-dessus les bois; - draps noirs et orgues, éclairs et tonnerres, montez et roulez; - eaux et tristesses, montez et relevez les déluges. Car depuis qu'ils se sont dissipés, - oh, les pierres précieuses s'enfouissant, et les fleurs ouvertes! - c'est un ennui! et la Reine, la Sorcière qui allume sa braise dans le pot de terre, ne voudra jamais nous raconter ce qu'elle sait, et que nous ignorons ! Arthur Rimbaud 1854-1891,Illuminations» Le magnifique poème de Frédéric Lefebvre sur les attentats de Paris Il pleure dans mon coeur Il pleure dans mon coeurComme il pleut sur la ville ;Quelle est cette langueurQui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluiePar terre et sur les toits !Pour un coeur qui s’ennuie,Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raisonDans ce coeur qui s’ ! nulle trahison ?…Ce deuil est sans raison. C’est bien la pire peineDe ne savoir pourquoiSans amour et sans haineMon coeur a tant de peine ! Paul Verlaine 1844-1896Romances sans paroles» 1874
poésie arc en ciel quand le soleil pleut