Pasde bébés à la consigne 15 avril · Une journaliste de M6 enquête actuellement sur les dysfonctionnements signalés récemment dans des Pasde bébés à la consigne s’appuie dans sa mobilisation sur l’avis défavorable émis le 15 avril 2021 par le conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) sur le projet de décret mettant en œuvre certaines dispositions de l’ordonnance, concernant notamment l’encadrement et la qualification en accueil Nibébés ni parents à la consigne ! L’accueil et l’écoute, par les professionnel·le·s de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants sont primordiaux. Dans les lieux d’accueil de la petite enfance, la qualité de la rencontre avec les familles constitue un enjeu essentiel pour offrir aux tout Pas de bébé à la consigne ! ». C’est le mot d’ordre de ce mouvement de grève initié ce mardi en France dans les crèches, à l’appel de plusieurs syndicats (CGT, CFDT, Pas de bébé à la consigne" : le personnel des crèches appelé à manifester à Lyon Photo d'illustration - LyonMag Le personnel des crèches est appelé à manifester ce jeudi midi, devant l Lecollectif «Pas de Bébé à la Consigne», réunissant des professionnelles de la petite enfance, s’est réuni ce jeudi en face de l’hôtel de ville pour faire entendre sa colère. A la Carpentras: "Pas de bébés à la consigne !", le personnel des crèches manifeste contre la réforme Taquet Abonnez-vous à partir de 1 € Découvrez nos offres Pasde bébés à la consigne : mise au point avant l'été Dans son tract de l'été dévoilé hier soir, Pas de bébés à la consigne annonce sa mobilisation à venir auprès des nouveaux élus. Gouvernement et groupes parlementaires vont devoir rendre des comptes ! Cela faisait un moment que le collectif n'avait plus donné de la voix Pasde bébés à la consigne reste mobilisé aux côtés des modes d’accueil et se tient prêt à les appeler à redescendre dans la rue dès les Pasde bébés à la consigne est un collectif, créé en 2009, qui défend un accueil de qualité pour les jeunes enfants en accueil individuel et collectif. 15 581 personnes aiment ça 16 ciXv. l'essentiel Une centaine de professionnels de la petite enfance se sont rassemblés, ce mardi 14 janvier, devant la préfecture à Rodez, à l'appel de la CFDT. Les agents des crèches, haltes-garderies et les assistantes maternelles refusent les mesures qui découleraient de la prochaine ordonnance et décrets, actuellement à l'étude. "Les bébés ne sont pas des sardines", "les bébés ne sont pas du bétail"..."Pas de bébés à la consigne", des phrases chocs, en forme de slogans. Les professionnels de la petite enfance craignent des conditions d'accueil, au rabais, des chères têtes blondes. Pour cela, ils se sont rassemblés, ce mardi 14 janvier, devant la préfecture aveyronnaise. Travaillant indifféremment au sein des crèches et des haltes-garderies, mais également des assistantes maternelles, redoutent la prochaine ordonnance et ses décrets, sur lequel planche actuellement le gouvernement. Pour les syndicats dont la CFDT Inerco, la CGT et FO, ainsi que le mouvement national "Pas de bébés à la consigne" les conditions d'accueil des petits seraient assouplies par l'ordonnance. "Nous voulons savoir quel avenir nous attend et comment allons-nous nous occuper des enfants ? On n’entend pas les mettre dans une pièce et fermer la porte derrière", explique Gaël Lafarge, secrétaire départemental adjoint CFDT. Et d'ajouter "les structures d'accueil sont déjà saturées. Aujourd'hui, la capacité est de 110%. Le gouvernement voudrait la faire passer à 115% !". Les manifestants craignent également la dévalorisation des diplômes du personnel. l'essentiel "Les bébés ne sont pas des sardines", qu’on entasse. Les professionnels de la petite enfance ont utilisé des slogans chocs, hier, pour dire leur opposition à la future ordonnance qui risque de dégrader fortement les conditions d’accueil des bébés. Le mouvement national "Pas de bébés à la consigne", s’est mobilisé hier, devant la préfecture, à l’appel de la CFDT Interco. L’appel a rassemblé une centaine de professionnels de la petite enfance, inquiète des conséquences des mesures par ordonnance et décrets, actuellement à l’étude par le gouvernement. Les professionnels craignent des changements dans l’accueil et la prise en charge des enfants. En attendant cette ordonnance qui devait "tomber en février", mais sera reportée selon les syndicats, place donc à l’appréhension. "Notre travail n’est pas de mettre des enfants dans une pièce et de fermer la porte", rappelle Gaël Lafarge, secrétaire adjoint départemental CFDT. Un surnombre de 115 % ?Les personnels de la petite enfance qui attendent l’aboutissement des échanges, souhaitent des précisions sur le ratio de 50/50 avec des professionnels diplômés d’État, une surface de 7 m2 par enfant accueilli, des horaires dits "atypiques", sous condition, une reconnaissance salariale des postes de direction par un déroulement de carrière et une capacité "du surnombre" limitée à 110 %. "Aujourd’hui, le gouvernement veut aller à une capacité de 115 %, du lundi au vendredi, vous imaginez les conditions d’accueil", ajoute Gaël Lafarge. Ces professionnels souhaitent également une reconnaissance des compétences des puéricultrices et infirmières par une valorisation financière. Globalement, Interco CFDT demande au ministère en charge de ce dossier "d’abattre ses cartes" rapidement."Il y a eu des échanges entre les syndicats et le secrétariat d’État à la cohésion social, il y a plus d’un an de cela. Depuis, on n’a plus de nouvelles. Il est temps de savoir ce que le gouvernement prévoit", ajoute le représentant syndical. À l’issue de la manifestation, une contribution, rédigée par la CFDT, a été remise à la préfecture. La contribution demande, entre autres, "un changement de paradigme par la prise en co mpte d’abord de l’enfant dans une sphère sécure et bienveillante". Communiqué de presse du collectif "Pas de bébés à la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. Après le drame survenu la semaine dernière dans une micro‐crèche de la ville de Lyon, nous nous associons très sincèrement à la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice sont fondés à faire la lumière sur cet événement tragique. Tout en faisant preuve de la plus grande prudence quant aux liens à établir entre cela et la situation générale des crèches, le collectif Pas de bébés à la consigne rappelle qu’il alerte depuis des années sur la dégradation des conditions d’accueil des jeunes enfants, notamment en structures collectives, et sur celle des conditions de travail des Le collectif s’est mobilisé depuis 2018 avec de très nombreux collègues pour dénoncer la réforme, dite loi ASAP, des modes d’accueil portée par le gouvernement Macron, qui aboutit encore à déqualifier les métiers de la petite enfance et à déréglementer le secteur. Nous avons fait des propositions, nous avons manifesté mais n’avons jamais été entendus, pas plus que la Commission des 1000 premiers jours qui a également proposé vainement au gouvernement de réhausser les standards d’accueil en crèche. Depuis longtemps, nous affirmons que rester seul en accueil collectif avec un ou plusieurs enfants ne permet pas de garantir la sécurité des enfants et des professionnels. Avant les décrets dérogatoires adoptés durant la crise sanitaire, seules les micro‐crèches avaient cette possibilité rester seul jusqu’à 3 enfants, aujourd’hui toutes les structures collectives peuvent utiliser cette disposition. Par ailleurs les conditions d’accueil sont devenues extrêmement compliquées manque de personnel, dégradation des taux d’encadrement, recours à du personnel peu qualifié, possibilité d’accueil en surnombre des enfants tous les jours. Ces situations du quotidien conduisent les au bord de pratiques qu’ils jugent eux‐mêmes potentiellement maltraitantes, selon de nombreux témoignagescf. S’il est bien évident que la responsabilité civile et pénale est engagée pour tous les professionnels du secteur et que chacun doit répondre de ses actes, les questions se posent quant aux responsabilités des pouvoirs publics et à celles des gestionnaires des établissements d’accueil, de garantir une réglementation et son application pour offrir des conditions d’accueil aux jeunes enfants, en toute sécurité psychique et physique dans tous les modes d’accueil. Documents associés

pas de bébés à la consigne